Cancers digestifs : à l’heure des biothérapies

  • Par
  • Publié le . Paru dans L'Information Dentaire
Information dentaire

Le traitement de certains cancers digestifs (colorectaux, œsogastriques, pancréatiques…) fait désormais appel aux biothérapies ou thérapies ciblées, molécules agissant sur les voies de signalisation intracellulaires impliquées dans la prolifération des cellules tumorales.

Ces biomédicaments, administrés seuls ou en association avec une chimiothérapie classique (cytotoxique), appartiennent à deux grandes classes pharmacologiques : les anticorps monoclonaux (dont le nom se termine généralement par le suffixe « mab ») et les inhibiteurs de tyrosine kinases ou ITK (dont le nom se termine généralement par le suffixe « nib »).

Thèmes abordés

Commentaires

Laisser un commentaire

Sur le même sujet

Revue de presse

Boissons pour sportifs et érosion dentaire

Comme chaque année, les vacances d’été qui se profilent seront pour certains l’occasion pratiquer des sports en plein air et...
Revue de presse

Article réservé à nos abonnés Édentement complet et implant unitaire

Dans une logique d’économie tissulaire des organes dentaires, la pose d’un implant est souvent le traitement le mieux approprié pour...
Revue de presse

Article réservé à nos abonnés Les vrais critères de choix de la DVO

Cet article vise à clarifier une notion capitale, tant diagnostique que thérapeutique : la Dimension Verticale d’Occlusion (DVO). Enseignée dès...
Revue de presse

Article réservé à nos abonnés Pulpotomie permanente et dents permanentes

La pulpotomie est le moyen le plus efficace pour soulager rapidement les symptômes douloureux d’une pulpite irréversible, classiquement dans l’attente...
Revue de presse

Article réservé à nos abonnés Caractéristiques du sourire et préférences des patients

Un beau visage est un avantage préférable à toutes les lettres de recommandation. » C’est ainsi qu’Aristote expliquait l’importance de l’esthétique...
Revue de presse

Article réservé à nos abonnés Chirurgie des canines maxillaires incluses : operculisation ou pas ?

L’inclusion de la canine maxillaire est observée dans 1 à 3 % de la population, pouvant aller jusqu’à 24 % en population...